Désolé, mais ça commence mal. Il n’existe pas de nature. Au mieux, ils en existe des infinités. Sinon une nature faite par l’homme, une nature humaine. Un truc inamovible et bien pratique pour excuser beaucoup d’actions et de pensées. Des natures des choses, des natures du vivant, des natures de produits manufacturés et #⸮“biologique”?#
Toujours. En voilà bien un mot dangereux. Admettons une seconde que cette phrase et ses composantes soient vraies. Cela voudrais dire que chaque fois, sans fautes ni omission, se passe la même chose. Au galop, la nature (de soi, ma nature, sa nature à être impulsif) revient égoïstement vers nous).
Quelque chose me dit, que ces instants, plutôt que d’être des événements entrecoupés sont des vagues. Comme quelqu’un ou quelque chose qui t’emporte à une certaine hauteur, puis t’attire de loin. ce peut être vers le bas et la chute, soit l’engloutissement, ou encore sur plaine calme et reposée. Mais le courant est toujours présent, indiscible. Allant ou poussant vers là où tu ne souhaiterais peut être pas aller.
Si nature il y a, alors la nature se meut et ne s’en vas pas. Fait parti de tout, dont nous faisons part. Apprendre à contrôler ses emotions, pour mieux agir sur no actes, tant que notre nature génétique/sociale/mentale/physiologique nous le permet. Si par malheur si, il faut penser à demander de l’aide.
vers là où il n’y a plus qu’à doucement faire face à son égo
Conclusion